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  Bien que les alternatives du pâturage ouvert,comme le pâturage rotatif, soutiennent les animaux et les pâtures, ces méthodes ne sont souvent pas pratiques pour les plus pauvres à cause des demandes d’investissement et d’équipement. Une alternative pour les éleveurs d’animaux dans les tropiques est de produire des fourrages de haute qualité d’une façon intensive et d’apporter la nourriture aux animaux au lieu de les amener à la nourriture. La méthode coupe-et-porte représente une approche de gestion hybride et intelligente qui est plus saine pour les animaux, et plus rentable pour les fermiers, et mieux pour la planète. Avec un système coupe-et-porte dans les tropiques développantes, les animaux sont gardés dans un enclos particulier. Les familles utilisent des murs, des branches épineuses, des poteaux ou des barrières vivantes à usages multiples pour garder les vaches, moutons, et/ou les chèvres enfermées. Ceci les protège des autres personnes, pestes, maladies, et du soleil chaud. L’enclos les empêche aussi de se balader n’importe où. Le fourrage doit être apporté aux animaux, puisque les animaux dans des enclos ne se baladent pas aussi librement que ceux du pâturage ouvert. Ceci donne le propriétaire la chance de sélectionner la meilleure nourriture pour les animaux..

Mettre les animaux dans un enclos avec le nourrissage coupe-et-porte permet aux fermiers de contrôler les régimes et de minimiser le stress des animaux, mais ces animaux ont aussi parfois le droit de se balader librement. La plupart des fermiers ont plein d’espace sur les terrains jachères et les terrains communaux qui ne sont pas cultivés où les animaux peuvent étirer leurs jambes. Des fourrages de haute qualité peuvent même être cultivés dans et autour de la zone de l’enclos où les animaux passent la plupart de leur temps. Puisque les animaux sont limités dans un endroit particulier, la gestion de tous les jours est plus facile. Les maladies et les autres problèmes peuvent être identifiés et remédiés facilement avant que ça soit trop tard. Les bétails gâchent beaucoup moins d’énergie que les autres animaux qui passent leurs vies en marchant dans le soleil, en étant irrités par les insectes et en mangeant de l’herbe qui a l’équivalence nutritive du carton. Ils sont confortablement hébergés avec du fourrage, de l’eau propre et des minéraux. L’exposition et la transmission de maladie sont réduites, et le fumier est recueilli et géré plus efficacement. Les animaux en chaleur peuvent être aperçus et accouplés, isolés, ou mis en quarantaine rapidement. Le résultat final est que les animaux élevés dans ces conditions confortables ont une demande de nutriments plus basse, et ont un pourcentage plus haut de l’énergie et des nutriments consommés est converti en viande, lait, et veaux sains. Les systèmes de gestion de bétail coupe-et-porte aident les animaux à ne pas gâcher leur énergie en transpirant sous le soleil chaud, en écrasant les insectes et en fouillant les terrains pour trouver quelque chose à manger.

Tandis que les animaux sont normalement mis dans un enclos avec ce système, il ne devrait pas être confondu avec l’élevage en captivité et l’intensification des animaux dans le monde développant. Dans le monde développant, l’élevage en captivité est devenu de l’élevage industriel intensif moderne où les animaux sont entassés dans des petits espaces. Ces conditions de vie cruelles, en combinaison avec les régimes malsains censés d’accélérer la rentabilité des animaux, amènent beaucoup de personnes à considérer les systèmes d’élevage en captivité comme immoraux.

Gestion de bétail dans les jardins forêt

 

Dans l’étape de protection, les fermiers apprennent à incorporer des arbres de fourrage dans leurs murs verts qui entoureront chaque jardin forêt. Les arbres servent comme des coupes-vent à l’intérieur de la protection des barrières vivantes épineuses, et ils servent comme des barrières autour des jardins et des vergers pour contrôler les pestes. Ils sont aussi plantés autour des	Dans l’étape de diversification, les arbres de fourrage aident les fermiers. Ils sont souvent plantés dans des boisés pour du bois de chauffage ou dans des rangées le long d’un terrain pour de l’engrais. Ils sont aussi plantés autour des jardins et des sections de verger pour	Dans l’étape d’optimisation, les arbres de fourrage qui fixent de l’azote sont plantés à proximité des jardins et des arbres fruitiers. Les écarts dans le terrain sont remplis par ces arbres, et des variétés qui fournissent du fourrage de bonne qualité pendant la saison.

Quand les arbres de fourrage sont plantés dans les rangées, les lignes, les périmètres, et les bandes de contour, ils sont normalement écartés entre 30 cm et 2 mètres à part dépendant de la variété et l’usage de la formation d’agroforesterie. Quand ils sont plantés comme des barrières vivantes, les arbres de fourrage sont normalement plantés dans deux rangées échelonnées avec les arbres écartés 30-50 cm à part. Pour les coupes-vent, ils sont souvent plantés dans des intervalles d’un mètre, comme de nombreuses herbes de fourrage. Les avantages d’établir des systèmes de gestion de bétail coupe-et-porte dans les jardins forêt sont:

• Usage de terre disponible plus efficace.
• Temps pour la commercialisation diminué.
• Decreased time for marketability.
• Capacité de pouvoir améliorer la productivité de la terre constamment.
• Réduction du risque d’endommager l’écosystème.
• Efficacité d’alimentation augmentée.
• Prix d’intrant réduit et remplacements de fourrage d’animaux couteux réduits.
• Plus sain pour les animaux, meilleure gestion de maladie.
• Gestion de fumier efficace.
• Qualité de certains produits comme la viande et le lait augmentée.
• Nouvelles opportunités de marché.
• Capable d’être implémenté avec 100% de technologies appropriées.
• Social benefits such as freeing children from herding responsibilities and more time for school.

Les désavantages de cultiver du fourrage dans les jardins forêt peuvent être:

• Demandes de beaucoup de travail.
• Difficulté pour déterminer des rations intelligentes, équilibrées des sources diverses.
• Difficulté savoir comment maximiser la production de fourrage des arbres différents.
• Réaction négative de l‘industrie de fourrage.
• « Pas en plein air » possiblement considéré comme immoral
• Changements dans le gout de lait, la qualité et la lactation.
• Potentiel de besoin de minéraux supplémentaires.
• Période d’ajustement pour les animaux.
• Contraintes de production pendant la saison sèche.
• Manque d’outil pour le taillage et la récolte correcte des arbres de fourrage.
• Contraintes de traitement et de stockage pendant la saison pluvieuse.

 

Sélection des variétés de fourrage

Le but ultime d’élever les animaux est de les donner des conditions de vie qui les aideront à rester en bonne santé et à reproduire rapidement. Comme les personnes, les animaux ont besoin d’un régime bien équilibré. L’herbe seule n’est pas assez. Les animaux ont besoin de protéines, de nutriments macros et micros, de minéraux, et plein d’eau propre.

Il y a une grande gamme de fourrages d’animaux que les fermiers utilisent autour du monde. Mais lesquelles de ces variétés sont utiles pour la production de fourrage? Presque chaque pays dans le monde tropical a de nombreuses sortes d’arbres, de buissons, d’herbes et d’autres végétations qui ont des feuilles et de la matière de plante douce qui peuvent être utilisées comme du fourrage d’animal de haute qualité.. Choisir les bons arbres de fourrage pour planter demande une considération des besoins de bétail, des besoins de la ferme, et des besoins de la famille. Les meilleures sources de fourrage peuvent adresser plusieurs besoins de la ferme, inclus le bois de chauffage, le fumier vert, le control de vent et de l’érosion de terre, la protection ou même la nourriture pour la consommation humaine. Des caractéristiques importantes sont l’adaptabilité au climat précis et aux conditions de la terre, les caractéristiques de croissance, la fixation d’azote, la versatilité de l’usage (ex. carburant, miel, et charbon, etc.), contenu de protéine, digestibilité et palatabilité. C’est important de noter que la digestibilité est souvent reliée au tannin et à l’autre contenu de produits chimiques secondaires qui, si assez haut, peut perturber la digestibilité et le métabolisme des nutriments dans certains animaux. Dans certains cas, la consommation de certaines quantités de fourrage, haut en composants de produits chimiques, peuvent provoquer des maladies ou la mort. Si aucune directive précise n’est donnée pour le pourcentage de fourrage dans les régimes, une seule variété devrait fournir pas plus de 30% du régime entier des ruminants et pas plus de 5-10% du régime entier des non-ruminants. Les systèmes de pâturage sont particulièrement difficiles à maintenir dans les régions tropicales avec les saisons pluvieuses et sèches distinguées. C’est particulièrement important de sélectionner des arbres qui produisent des feuilles pendant les longues saisons sèches sans demander une irrigation extensive. Les régions avec des saisons sèches particulièrement longues peuvent nécessiter du terrain additionnel pour produire plus de fourrage, ou une partie du jardin forêt plus grande dédiée aux variétés de fourrage.

Traiter et stocker le fourrage de feuille

Les arbres de fourrage devraient initialement être coupés ou taillés quand ils atteignent 2 mètres, et puis encore après chaque .5-1 mètre de nouvelle croissance quand la repousse est optimale. Couper pendant la saison pluvieuse peut être fait aussi souvent que toutes les 2 semaines (6-8 fois pendant la saison). Pendant la saison sèche, les récoltes peuvent diminuées pour s’adapter aux conditions de croissance désavantageuses. Certains fermiers choisiront de laisser les arbres pousser et puis les récolteront quand les tiges atteignent une taille utile pour des autres usages comme du carburant ou des piquets.. Traiter et stocker le fourrage prend en compte de nombreuses considérations comme: le moment de l’année (saison sèche ou pluvieuse), la préférence et tolérance des animaux, la technologie disponible, le genre de produit final (feuilles, farines, tourteau ou boulette, etc.), la disponibilité au marché et même le mode de transportation au marché.

Nourrir les bétails avec du fourrage frais est normalement le mieux puisqu’il contient le plus de nutriments. Par contre, ceci n’est peut-être pas une option avec les contraintes saisonnières, les limitations de quantité et qualité, et des autres facteurs. Tandis que de nombreuses variétés de fourrage à base d’arbre produisent pendant la saison sèche, elles ne sont souvent pas aussi prolifiques que pendant la saison pluvieuse. Donc, le traitement et le stockage sont nécessaires pour assurer des approvisionnements corrects pendant l’année entière. Ceci ouvre la porte pour des possibilités d’options de marché puisque la demande pour du fourrage abordable de haute qualité augmente pendant la saison sèche. Des options comprennent sécher les fourrages, les couper et les stocker, et/ou les traiter pour les utiliser plus tard tout seul ou mélangés avec des autres produits dérivés des autres récoltes. Des autres parties de la plante, à part des feuilles comestibles et des pétioles (masse d’herbe), peuvent inclure des cosses, des graines, des fruits, et des branches jeunes. Quand vous séchez les fourrages pour les stocker, c’est mieux de les sécher à l’ombre sur des tamis ou des autres plateformes élevées qui reçoivent plein de ventilation. C’est peut-être nécessaire de vérifier le matériel et de le retourner de temps en temps pour éviter la moisissure. Le séchage peut augmenter la digestibilité dans certaines variétés en réduisant le contenu de fibre. Sécher pendant la saison pluvieuse peut être problématique à cause de la détérioration. Le séchage devrait être fait en accord avec les prévisions météorologiques ou avec des méthodes de séchage améliorées qui fournissent de la chaleur avec peu d’humidité. Faire de l’ensilage (normalement des herbes fermentées) dans des sacs ou des trous rend un produit plus digestible, particulièrement pour les non-ruminants, qui peut facilement être stocké.  

Les possibilités d’agro-industrie pour le fourrage

La farine de feuille peut être commercialisée, mais dépend généralement de l’équipement comme des broyeurs et demande un agent liant (généralement de la mélasse). Ces sortes de suppléments de fourrage sont plus chères à faire mais très nutritifs et peuvent avoir une valeur de revente haute. La farine de feuille est généralement une partie de la ration de nourriture mélangée avec de l’autre nourriture. Par contre, la farine de feuille peut être volumineuse et couteuse, particulièrement pendant la saison sèche. La farine de feuille et les fourrages stockés ont besoin d’être compressés pour augmenter l’efficacité de transportation pour les transports courts et longs. Généralement, la farine de feuille est un suppléments de fourrage pendant la saison sèche et donne de l’emploi pour les producteurs et commerçants de farine de feuille. Ceci est une marchandise haute en valeur et a beaucoup de potentiel le traitement peut être abordable et facilement accessible aux populations rurales. Une question souvent posée est si les farines de feuille à base de fourrage peuvent remplacer pour la farine laitière en termes de qualité et d’avantages, mais aussi de prix et de di. Des considérations monétaires qui font parties de la décision de production et d’achat comprennent: le prix de l’achat (inclus la transportation) contre le prix d’élever et gérer les fourrages (travail, graines, moins de terre pour les autres récoltes), la différence entre les rendements et les options de marché comme les changements de quantité et de qualité de la viande et des produits laitiers et la disponibilité au marché et le prix du fourrage. Tous ces facteurs déterminent la stratégie: remplacement supplementation et achat.

Des arbres de fourrage populaires des régions montagneuses

Calliandra calothyrsus

est adaptable aux acidités de terre variables, est partiellement tolérant de l’ombre, fixe de l’azote, et aime les terres bien drainées qui ne sont pas gorgées d’eau. Son fourrage est haut en protéine (17-22% de protéine brute), et est relativement digestible (35-40%). Les arbres peuvent produire 6.16-7 tonnes de matériels secs par an. Par contre, les niveaux de tannin hauts limitent la digestibilité donc il faut limiter le pourcentage dans le régime. Les chèvres adorent la Calliandra pendant que les bovins ont besoin d’une période d’ajustement. Les ruminants le supportent plus que les non-ruminants. Les régimes des lapins et des volailles devraient consister de seulement 5% de Calliandra, et en générale, pas plus de 30% de Calliandra devrait faire partie du régime.

Leucaena trichandra

                        L. trichandia ne supporte pas la gelée, ne pousse pas bien dans les terres acidulées, et préfère les terres bien drainées. Il fixe l’azote. Il est riche en protéine (17-33% de protéine brute), et son contenu de tannin se varie, comme sa digestibilité. Cette variété est résistante aux maladies, adaptée aux climats plus frais mais sans une tolérance à la gelée, et a de multiples usages. C’est écrit qu’il n’est pas bien adapté aux environnements tropicaux chauds, mais dans les régions montagneuses du Kenya, où les températures sont modérées à cause de l’altitude, c’est un arbre populaire parmi les fermiers..

Sesbania sesban/grandiflora

La Sesbania supporte la gelée légère et une grande variétés de conditions de terre, fixe de l’azote, et est riche en protéine (15-20% de protéine brute) et en digestibilité in vitro 90%). Les arbres de Sesbania produisent environ 20 tonnes de matière sèche par an. Par contre, elle ne devrait pas être récoltée plus de cinq fois par an et est à courte durée. C’est une variété de fourrage populaire et est utilisé pour la production de miel et dans l’alternation des récoltes sur les terres jachères. Elle est souvent mise en combinaison avec des sources de protéine plus basses pour fournir un régime de fourrage complet.

Morus alba

Le mûrier supporte la gelée et préfère les terres alcalines, bien drainées mais ne fixe pas d’azote. Il est riche en contenu de protéine (15-25% de protéine brute) et a une digestibilité haute (75-80% digestibilité in vitro). Ils produisent 5.6-11.2 tonnes de matière sèche par an. C’est arbre peut être en compétition avec les autres récoltes à cause de son besoin d’azote et des autres nutriments, donc il devrait être intégré avec des variétés qui fixent de l’azote quand il est planté dans les jardins forêt. Il est valable grâce à son contenu de protéine haut, sa palatabilité, sa résistance à la gelée, ces fruits comestibles, et la production des vers à soie.

   

Les arbres de fourrage populaires dans les plaines

Leucaena leucocephala

Leucaena pousse bien avec une grande gamme de conditions, particulièrement dans les plaines. Il repousse rapidement quand il est coupé et produit une grande quantité de feuilles, même pendant la saison sèche. Ce genre de feuille d’arbre a la capacité de beaucoup augmenter le taux de croissance et la production de lait grâce à ces niveaux de protéine hauts. Un troupeau moyen de bovins à usage double a besoin d’une ration d’environ 11-12% de protéine. Les herbes locales ont environ 6% de protéine pendant la saison sèche et 4% pendant la saison pluvieuse. Les feuilles de l’arbre Leucaena ont environ 27.5% de protéine, des niveaux de vitamine A et B hauts, et sont palatables aux animaux.

                 

Sesbania sesban/grandiflora

Description ci-dessus

Leucaena pallida

L. pallida supporte la gelée légère et préfère les terres bien drainées, qui sont entre neutres et alcalines. Il ne supporte pas l’engorgement et est particulièrement confortable dans les régions très sèches. Il fixe de l’azote, et comme les autres variétés de Leucaena, a un contenu de protéine très haut (29-35%) et une digestibilité très haute (55-64% digestibilité in vitro). Cette variété de Leucaena est résistante aux psylles, facile à cultiver et établir, et supporte les chantiers plus acidulés et frais mieux que L. trichandra. Par contre, les niveaux de tannin hauts limitent la digestibilité et l’utilisation de nutriments, donc des quantités modérées devraient être utilisées comme du fourrage.

Leucaena diversifolia

Ce genre de Leucaena support la gelée légère et préfère les terres bien drainées, légèrement acidulées. Il fixe de l’azote, est très palatable, et a un contenu de protéine haut (25-32% de protéine brute). Ces niveaux de tannin hauts limitent la digestibilité. Cette variété de Leucaena a une tolérance des températures basses et est résistante aux insectes psylles. Il fait du bon charbon et du bois de chauffage. C’est un producteur de graines prolifique, donc il devrait être récolté souvent et maintenu pour limiter l’envahissement. Pas plus de 30% du régime entier pour les ruminants et est inadapté pour les non- ruminants (donnez pas plus de 5-10%).

Morus alba

Description ci-dessus

Senna siamea

Du fourrage populaire pour les chèvress, mais les composants de plante secondaires sont très toxiques aux non-ruminants comme les cochons et les volailles. Cette plante a aussi un nombre d’autres usages comme du carburant, du médicament et des textiles.

Des autres arbres de fourrage d’animal de haute valeur dans l’Afrique de l’Est

Chamaecytisus palmensis (Arbre Lucerne)

L’arbre Lucerne supporte la gelée et la sècheresse, une grande gamme de pH de terre, et préfère des terres bien drainées. Il fixe de l’azote et a un contenu de protéine haut (20-30% de protéine brute) et est extrêmement palatable (77-82% digestibilité in vitro). Il produit 10 tonnes de matière sèche par an. Cette variété améliore la terre et est bonne pour la production de miel. Il est facilement digéré et palatable, mais ça peut prendre du temps pour les animaux de s’y ajuster, et peut être susceptible aux maladies fongiques.

Gliricidia sepium

La mère du cacao, son nom traduit en Espagnole, ne supporte pas la gelée et l’engorgement, mais supporte une grande gamme de pH de terre et fixe de l’azote. Il offre 18-30% de protéine brute, 60-65% de digestibilité in vitro, et 20 tonnes de matière sèche par an. C’est dit qu’il a une palatabilité basse mais peut être mélangé avec des autres fourrages. Cette variété est particulièrement bonne pour les ruminants et se propage facilement avec les boutures. Il peut être toxique pour les non-ruminants, donc ne donnez pas plus de 10%. Il est bien adapté aux chantiers secs et chauds et a un potentiel de biomasse haut. Si permis de pousser, il offre du bon bois d’œuvre, résistant aux termites, qui est bon pour les meubles. Ses feuilles riches en azote sont un bon fumier vert. Le Gliricidia sepium est populaire pour ses fleurs parmi les producteurs de miel.

Pennisetum clandestinum (Herbe Kikuyu)

L’herbe kikuyu est utilisée dans des pâturages permanents, pousse le mieux sur des terres fertiles et supporte un pH bas. Elle peut être utilisée comme de la paille ou de l’ensilage. Elle pousse bien dans des régions de régime d’humidité haut et bas. Comme une plante tropicale, elle ne supporte pas la gelée. Ce fourrage a besoin d’être coupé pour produire de la qualité et demande des nutriments. Elle donne du fourrage de bonne qualité avec des niveaux de protéine et de digestibilité hauts avec la nouvelle croissance. Il faut être prudent en cueillant du fourrage des nouvelles croissances après des longues périodes de sècheresse puisque trop de consommation peut être toxique.y.

Desmodium intortum

L’herbe desmodium de feuille verte a un contenu de protéine (16-24% de protéine brute), et de digestibilité (55% digestibilité) modérés. C’est une variété annuelle qui ne pousse pas bien pendant la saison sèche..